FAQ
Les (quelques) types de questions qui peuvent vous venir en tête...
Quel est ce site ?
Ce site est la plateforme de mon autoentreprise, que j’ai créée en Octobre 2022. Il a été réalisé dans le but de manifester le type de prestations et services que mon activité peut offrir. Par la création de ce site, je souhaite présenter sous une forme personnelle des informations tirées de mes lectures, expériences, réflexions ou discussions. Je réalise une collection et une construction de connaissances par le biais de services commandés mais que je peux utiliser pour de l’information publique (sauf en cas de restriction à un cercle de confidentialité). Sur ce site peuvent apparaitre des rédactions que j’ai produites sans sollicitation particulière : citations d’études réalisées, droits de réponses, articles d’opinion avec références citées, formulation d’hypothèses qui me viennent spontanément, synthèses d’entretien, paragraphes de vulgarisation, etc. Conscient de la dimension polémique de mon sujet d’études, les grands prédateurs, je m’engage à recourir à une extrême prudence dans mes propos, ne pas tenir de conclusions trop hâtives, respecter les craintes de certains concitoyens et tâcher de diffuser de la connaissance fiable dans le cadre de la loi.
Suis-je un scientifique ?
Techniquement non, au sens où je ne suis rattaché à aucun laboratoire, université ou institut de recherche. Je n’ai pas effectué de thèse doctorale ni n’ai publié dans des revues scientifiques à comité de lecture. Mon métier est davantage « ingénieur en éco-éthologie et faunistique». Pour le moment, les recherches que je mène se font de manière indépendante
Cependant, je dispose de qualités similaires aux scientifiques attitrés : mes qualifications portent sur des domaines scientifiques. Je dispose d’un master de sciences en sciences cognitives (spécialisé en éthologie). Mes qualifications me donnent une légitimité argumentative puisque je partage les mêmes méthodes et outils de réflexion/évaluation avec l’ensemble de la communauté scientifique. Je travaille essentiellement avec les données produites par la littérature scientifique qui ont suivi le processus de validation conforme à la revue critique par des pairs. Par ma formation, j’ai une aisance à lire et interpréter correctement le sens général des articles scientifiques et des conférences sur les sujets qui me préoccupent.
De plus, à titre d’ingénieur, je peux intégrer des projets de recherche à travers l’encadrement de travaux sur le terrain. Ce faisant, je peux travailler en lien avec une université et/ou autres organismes compétents avec lequel je peux collaborer (pour stage, séminaire, thèse doctorale, projet de science participative, recherche appliquée etc.). Si de telles occurrences arrivent, alors la réponse à la question « suis-je un scientifique » deviendra peut-être « Oui ».
Le cadre de mon travail n’est donc pas vraiment différent de celui des scientifiques. Mon objectif est davantage d’établir un lien entre le monde de la recherche académique avec les parties prenantes de la société. C’est par ce biais que nous pourrons développer des projets de gestion viable avec les fauves : promouvoir le retour des grands carnivores sans qu’il en coûte de nos modèles extensifs de l’élevage.
Ce site est-il validé par la communauté scientifique ?
Non. Ni ce site, ni mon entreprise ne dispose de « comité scientifique » qui cautionne toute information qui s’y trouve. Je n’attends pas de validation de qui que ce soit pour publier une page, un article ou une simple ligne. Le contenu de ce site n’engage que moi, et aucune personne ne saurait-être considérée comme en accord avec mes propos, au simple fait qu’elle serait citée.
Cependant loin de moi l’envie de passer pour un hurluberlu ou un criard faisant son intéressant, je teste autant que possible la fiabilité de mes hypothèses, réflexions avec les sources les plus pertinentes avant de publier la moindre ligne. Jamais je n’entreprendrai de recourir à la pseudoscience, ni aux argumentations fallacieuses, aux attaques personnelles ou autres formes rhétoriques illégitimes, et donc improductives. J’ai besoin de garder toute la crédibilité dont je dispose pour maintenir mon activité.
Toutefois, aucun de mes propos ne peut être tenu comme équivalent à un processus de validation par les pairs. Même si de nombreux scientifiques font partie de mes listes de référence, cela ne peut être considéré comme une garantie. étant pour la plupart de langue étrangère, ces personnes n’auront probablement ni le temps ni l’énergie de venir regarder systématiquement tout ce que je publie ici. Tout comme de m’écrire une correction si j’ai mal interprété un de leurs propos ou dit une ânerie.
Après, il est évident que si une personne compétente me fait remarquer une erreur, j’en prendrai acte. Tout sera fait pour que mes pages et propos soient compatibles avec l’état de l’art des connaissances scientifiques actuelles. Une chose que je ne peux garantir à 100%, chacun(e) pourra juger du degré de crédibilité à m’accorder. Nous autres, animaux, sommes imparfaits de nature.
Etes-vous pour ou contre le loup ? L’ours ? Le lynx ? Le castor à plumes ?
Le loup est-il pour ou contre le loup?… … Ni l’un, ni l’autre.
Cette réponse vaut, ainsi, de même pour moi. Au risque de décevoir beaucoup de monde.
Quoiqu’on en pense, le retour des grands prédateurs est une réalité. Ils sont là et effectivement leur présence n’est pas sans effets (bénéfiques comme néfastes), nous ne parlons pas du retour de la libellule… Oui ces trois prédateurs, enfin deux d’entre eux (le lynx, sérieusement c’est un non problème), sont un facteur de nuisance considérable pour les exploitations pastorales, qui pendant un siècle ont vécu sans leur présence. Les exploitations extensives de l’élevage (en plein air) sont les plus exposées aux risques de la prédation. Or c’est ce modèle extensif qui est plébiscité par la majeure partie de la population. Notamment pour des raisons de modes de production locale et de bien-être animal. Toutefois l’ours, le loup et le lynx sont tous protégés par la loi.
La question qui se pose, elle me vient d’un ami éleveur de brebis, est la suivante :
« Pouvons-nous revenir à une situation antérieure à 1992 ? » date de l’arrivée du loup. La réponse est clairement non. Et on en a pour preuve l’incapacité des mouvements anti-prédateurs à éradiquer ces animaux en Provence, dans le Valais ou dans les Pyrénées, et ce malgré la force des moyens employés. Malgré leurs tintamarres, le loup progresse, le lynx et l’ours se maintiennent sur le territoire.
L’urgence de mon travail est de produire de la connaissance scientifique sur ces animaux pour les rendre utiles aux éleveurs : qui sont ces prédateurs ? Quel est leur usage du territoire ? Quelles sont leurs habitudes ? Doit-il prendre des chiens ? D’autres mesures de protection ? Quand rentre-t-il son troupeau et quels endroits doit-il éviter à telle ou telle période ? Quelles expérimentations pouvons-nous mener pour inciter les prédateurs à changer de comportement et à rester créancé sur le gibier sauvage ?
Dans la littérature scientifique, le consensus international indique que pour protéger les carnivores, il faut les dissuader d’attaquer les cheptels domestiques (Jackson, McNutt & Apps, 2021; Behr Ozgul & Cozzi, 2017).
Voilà pourquoi je ne peux choisir entre POUR et CONTRE. Mon métier est de protéger les grands prédateurs.
Or pour protéger les loups, il faut protéger les éleveurs.
Je terminerai cette réponse en citant Antoine Nochy :
« Pour protéger un animal comme le loup nous devons l’empêcher d’effectuer des attaques qui peuvent enclencher des réactions visant à le détruire. Il faut sortir de la dichotomie classique du Pour et du Contre afin de sortir de la bêtise et des prémisses à un affrontement. Le loup fait évoluer la réflexion politique de stratégie et de compromis territoriaux à celle de l’acceptabilité. »
Vous êtes alors du côté des éleveurs ?
Oui, et ce pour plusieurs raisons :
- D’abord, en tant que scientifique adepte de la logique. Mon métier vise notamment à préserver les populations de grands carnivores. Or la principale menace qui pèse sur ces animaux est l’ensemble des répressions létales par des éleveurs excédés qui recourent au poison ou au tir à balles réelles sans autorisation. Mais aucun de ces actes de vendetta n’aurait lieu si le seuil de nuisance pour l’éleveur était réduit à un niveau acceptable: la protection des grands carnivores passe obligatoirement par la protection des éleveurs.
- Ensuite parce que je sais que la plupart des éleveurs n’ont aucune animosité initiale envers les prédateurs, à condition que des dispositifs soient établis pour leur permettre de vivre dignement. Je ne parle pas de la petite minorité criarde, hostile à toute forme de dialogue et qui reste fondamentalement ancrée dans une vision anti-prédateur périmée depuis près d’un siècle. C’est avec les éleveurs conscients, responsables et qui veulent aller de l’avant que nous devons travailler : comprendre leurs inquiétudes et tenter toutes les solutions possibles pour préserver leur mode de vie.
- Par respect de la profession agricole. éleveur, marin-pêcheur, maraîcher, vigneron, apiculteur, horticulteur… Pour tous ces métiers la nature est le seul patron. Si un jour la vache de donne pas de lait, il faut continuer de la nourrir ; si la récolte est mauvaise il faut chercher quelles en sont les causes et comment y remédier. Le paysan vit en interaction perpétuelle avec la nature, il la sens, la subit, l’entretien, l’expérimente sans cesse. C’est une profession qui nécessite des qualités multiples et qui implique une énorme responsabilité.
- Enfin, sous une casquette de citoyen et de consommateur. Campagnard et sensible aux richesses du vivant, je suis client d’une alimentation qui soit toujours liée à la terre : légumes de saisons, bétail élevé en plein air, gibier, poisson provenant de la pêche équitable/responsable… La restauration rapide, les importations excessives, la viande artificielle très peu pour moi. C’est parce que je connais mes exigences alimentaires que je veux soutenir nos paysans qui nous nourrissent.
Comment comptez-vous aider les éleveurs ?
Tout d’abord en apportant et en créant de la connaissance relevant des prédateurs qui vivent à côté d’eux !!Ce qui préoccupe l’éleveur Untel ce n’est pas de savoir comment vivent les loups à Yellowstone, en Italie ou en Pologne. Il veut savoir ce qu’il en est de ces vandales dans la forêt en face qui tapent fréquemment dans son cheptel et qu’il ne voit jamais. Monsieur Untel ne cherche pas à savoir non plus si les prédateurs sont revenus tous seuls ou réintroduits par le lobby écologiste, s’ils ont 0 ou 35% de gène de chien ou de cacatoès dans leur génome etc. Ce qu’il veut c’est avoir la capacité de se défendre en cas d’attaque et quels comportements adopter pour réduire le seuil de nuisance des prédateurs à un niveau acceptable.
Grâce à la littérature scientifique, nous disposons de tout un tas d’expérimentations faites à l’international dont nous pouvons nous inspirer pour des diagnostics de vulnérabilité des troupeaux. Mais plus encore, de tester ces méthodes ou les réadapter de sorte à ce qu’elles soient applicables sur nos territoires. C’est sous la lumière de la science que nous devrons alors créer d’autres formes de connaissances. En plus de la dynamique de population, nous devons développer des projets de recherche sur le comportement alimentaire des loups/ours/lynx, de leur mode d’occupation du territoire, de leur sociobiologie, des lieux de leurs principaux corridors. Cette acquisition de connaissances ne pourra se faire sans une coopération avec les éleveurs, avec des intérêts concrets pour ces derniers dans ces dispositifs. Mais aussi avec les institutions compétentes de l’état en matière d’environnement.
C’est suite à l’acquisition de ces connaissances que nous pourrons par exemple mener des expérimentations visant à dissuader, convaincre les prédateurs à se désintéresser des troupeaux domestiques. Un travail technique qui devra impérativement respecter la méthode scientifique et les institutions relatives à l’environnement, afin de rester dans le cadre de la loi. Des méthodes expérimentales comme celles du « Botswana Predator Conservation Trust » sont pour moi de très beaux exemples à suivre.
Quid des chasseurs ?
Même réponse que pour les éleveurs. à la seule différence que les chasseurs ne vivent pas de cette activité, mais il est capital de les inclure dans la boucle. En effet, eux aussi sont concernés par l’arrivée des grands prédateurs étant donné l’impact qu’apportent ces fauves sur les communautés de gibier. Ainsi, je veux apporter mon soutien au milieu cynégétique pour plusieurs raisons :
- D’abord car je suis moi-même chasseur. Chasseur de grand gibier uniquement, car à titre personnel j’estime que l’on devrait réduire la pression surle petit gibier (voire poser des moratoires sur certaines espèces) en attendant que l’on reforme des lieux de reproductions viables plutôt que de maintenir les lâchers de manière un peu anarchique. (ce n’est qu’un avis personnel, il se peut que je manque de référence pour avoir un avis plus assidu). La chasse est une activité que j’aimerais pratiquer beaucoup plus souvent, et surtout dans l’avenir. J’ai donc un intérêt profond pour que cette pratique se poursuive et dans des conditions toujours plus adéquates avec la réalité écologique.
- Ensuite car nous chasseurs, faisons partie des acteurs les plus confrontées et les plus légitimes pour représenter les enjeux environnementaux de notre territoire. Les chasseurs sont à l’affût et souvent les premiers avertis des déplacements de gibier, des maigres productions de fruits en automne, des changements migratoires et autres. Ils sont aussi souvent des grands amateurs de la vie sauvage, et en ce sens ils sont un atout considérable pour des études à suivre sur le terrain. N’oublions pas que le but des chasseurs est d’avoir un grand nombre d’animaux autour d’eux, la perte de biodiversité n’entre pas dans les intérêts des chasseurs.
- Enfin pour des raisons scientifiques, profondément attachées à la logique. Les chasseurs ont eux aussi vécu sans prédateurs depuis près d’un siècle. L’arrivée du loup notamment leur suscite de l’inquiétude à cause du manque de connaissances disponibles sur cet animal dans notre territoire. Et l’ignorance, si elle est parfaitement excusable, peut nourrir les hostilités stériles qui le sont clairement moins. Or les chasseurs, comme quiconque ayant accès aux connaissances, une fois renseignés peuvent avoir un avis plus raisonné sur les réels impacts du prédateur auprès des populations de proies. Je reviens à la nécessité de créer de nouvelles connaissances sur les grands prédateurs. En plus de la dynamique de population et de la répartition géographique, il est important de connaitre les stratégies alimentaires de l’ours, du loup et du lynx pour avoir une idée réelle de leur impact sur les différentes proies. Cela permettra de vérifier la résilience des espèces gibier, de mieux savoir quels quotas devrions nous baisser, lesquels pouvant être maintenus, et même comprendre en détail les interactions au sein de la chaine trophique (ongulés, forêts, clairières, prédateurs, faune du sol, etc). Tout comme l’éleveur, le chasseur est en interaction directe avec la nature, il l’observe, expérimente ses estimations et actualise de manière permanente ses acquis sur le paysage. Toutes ces qualités font des chasseurs les meilleurs alliés pratiques potentiels de la science sur le terrain.
En France, c’est l’Office Français de la Biodiversité (OFB) qui est responsable de l’aspect scientifique et technique du suivi du loup. Quels sont vos rapports avec eux?
Je suis correspondant au réseau loup/lynx, qui a pour objectif de surveiller l’évolution de la population de loups et de lynx en France. Ce réseau comprend de multiples structures (Fédérations de chasse, éleveurs, naturalistes, parcs nationaux ou naturels régionaux, ONF…) mais il est piloté par l’OFB. Ce dispositif est dans sa méthode très semblable aux sciences participatives. En tant que correspondant de ce réseau, je participe à mon humble échelle à la remontée et au partage des indices de présence relevant du loup ou du lynx que je peux trouver sur le terrain.
Ce statut vaut à l’échelle nationale. Ce faisant, je me suis engagé à transmettre et partager les données que je collecte avec l’OFB, et ce sans trahir ni déformer les objectifs du réseau. Un correspondant possède une liberté d’interprétation (à conditions de respecter la méthode scientifique) sur tout type d’indice excepté sur la prédation sur animaux domestiques, dont il peut faire part de ses observations mais en aucun cas donner de verdict définitif. Cette tâche est réservée aux agents de l’OFB.
Peut-on m’écrire par mail ?
Oui, toutefois plusieurs choses :
Je suis le seul à consulter les mails qui me sont destinés. Ce faisant, vous pouvez être assuré(e)s qu’à l’exception de propositions fantaisistes ou de torrents d’insultes vides d’intérêt (pléonasme), je finirai par lire tous les messages reçus.
N’ayant ni secrétaire ni assistant ni domestique, si vous recevez une réponse de ma part vous pouvez être sûr que j’en suis bien l’auteur (sauf cas de piratage de ma boîte mail, ce en quoi j’en aurai fait un communiqué au préalable).
Je déteste laisser les gens sans réponse, ce pourquoi je réponds généralement à tous les messages (sauf exceptions mentionnées plus haut). En revanche cela peut prendre un certain temps. Si je ne vous réponds pas dans les 24h ce n’est absolument pas par mépris. Les raisons sont le plus souvent les suivantes :
- Ma boite mail a confondu votre message avec une annonce des filles les plus chaudes de ma région ou avec celle du Grand Medium George-Amadou Plutanfiard qui résout tous mes problèmes les plus désespérés. Moyen en quoi, votre mail a été dirigé dans mes spams et désintégré si je ne m’en suis pas aperçu dans les dix jours suivant la réception. évitez donc certains termes dans le titre de votre message (ex : offre, gratuit, promo, inédit, sexe, exhibition sur un poney… Au cas où vous n’y aurez pas songé)
- L’inverse est possible : votre ordinateur m’a pris pour un spammeur ou arnaqueur divers. Songez à regarder la boite « spams », je ne tiendrai probablement pas de demandes suspectes dans mes mails, ni n’emploierai de termes douteux comme ceux mentionnés ci-dessus.
- Je suis plongé, la tête dans le guidon, au cœur de différentes réflexions, rédactions ou contrariétés du quotidien. J’ai alors oublié de vous répondre ou bien ais-je des retenues impérieuses pour le moment.
- Je suis parti sur le terrain, au cœur des bois et des toundras aux horizons lointains et je n’ai pas pris mon ordinateur. Pour des raisons qui me sont obscures, les loups semblent affectionner les endroits où le wifi et le réseau téléphonique est défectueux. Je ne prends pas mon ordinateur dans ces cas-là et je ne consulte jamais internet sur mon téléphone (comment ça, « Cro-Magnon» ? Oui, et alors ?)
- Je suis revenu des steppes arides ou des forêts brumeuses, et me voilà inondé sous une pile de messages qui s’ils étaient matérialisés pèseraient environ le poids d’un hippopotame mâle adulte. Donc, patience, s’il vous plait : ça arrive.
- Votre proposition de colloque sur les manipulations génétiques à visée ludique ne m’intéressent que moyennent. Il n’y a aucune offense, mais voyez plutôt avec le professeur Rollin.
- Vous me proposez des images, des sons ou toute autre donnée pour avoir mon avis balancé à la va vite, désolé mais je ne travaille pas ainsi. Il me faut la source, les conditions et le but de cette sollicitation avant que je ne puisse m’exprimer.
- Enfin, évitez s’il vous plait de me relancer dans les 24h, cela me brusquera plus qu’autre chose, pour un premier contact ce n’est pas idéal et je suis sûr que vous valez mieux qu’une insistance frustrante. Ne m’en voulez pas donc, si je ne vous réponds pas dans la minute : patience, cela viendra.
Peut-on me joindre par téléphone ?
Contrairement aux mails, consultables à toute heure et à tête reposée, le téléphone tinte souvent à des moments généralement prévu pour autre chose. En plus, il est nécessaire de se remémorer ou de noter le sujet du message pour le traiter. Ainsi, l’usage de mon téléphone est réservé à
1) mes clients ;
2) mes partenaires et collègues ;
3) les journalistes, si le format de l’article escompté me semble intéressant.
Vous êtes collégien(e), lycéen(e) ou étudiant(e), et vous voulez m’appeler pour poser une question.
évitez, s’il vous plaît. Il sera plus simple de me poser une question par mail. J’y répondrai dès que possible selon mes contraintes. Recherchez d’abord sur le site si rien ne répond à votre question. Tout message sera le bienvenu, hormis ceux ayant pour ambitieux de trouver un paragraphe à copier-coller dans un devoir. Dès l’école, on ne plaisante pas avec le plagiat.
Et pour proposer un sujet de conférence, ou une intervention diverse?
Idem, pour la prise de contact je préfère le mail. Vous pourrez ainsi mettre à ma disposition le titre au nom duquel vous m’écrivez, pour quel sujet, quel objectif et dans quelles conditions. Sans compter la trace écrite de la date proposée, ce qui est plus simple pour m’organiser.
Vous êtes sans réponse de ma part depuis une semaine, est-ce normal?
Idéalement non, mais nous ne sommes jamais à l’abri d’un oubli ou d’un défaut technique. Ce pourquoi à partir d’une semaine d’attente je vous invite à me relancer.
Peut-on reproduire des textes figurant sur mon site ?
Vous êtes libres de diffuser toute page de ce site, à conditions
1) que la diffusion se fasse dans un cadre Non Commercial,
2) de conserver la mention du site
3) d’en reproduire l’intégralité (une déformation des propos est vite arrivée).
Si vous voulez utiliser ou reproduire un texte de mon site dans un article de presse, je suis à disposition pour en discuter.
Pouvez-vous reprendre un texte de amaruqscience.com sur un site dont vous êtes le gestionnaire?
Je ne suis pas procédurier de nature. Toutefois, je préfère que l’on évite ça pour deux raisons :
- Tout d’abord pour des raisons de mises à jour. A l’image des connaissances scientifiques, mes pages informatives évoluent selon l’état actuel des connaissances que je consulte, et ce qui peut être une vérité aujourd’hui peut se retrouver demain, avec de nouvelles expériences/observations, être démentie. Reproduire ainsi une page intégrale de mon site reprendra potentiellement une version figée de mon travail que je ne souhaiterais pas voir diffusée. Elle comporterait une erreur que j’aurais repéré ou une conclusion changée suite à un ajout complémentaire.
- Ensuite, parce que ce type de procédé n’a pas de grande utilité. Les liens de page permettent facilement de se diriger sur une page, avec ses actualisations.
Pouvez-vous mettre un lien vers une page de amaruqscience.com?
Il me semble que c’est le but d’internet… Non ? Bien entendu c’est possible. Par définition ce qui est publié sur mon site est… Public. Tout utilisateur d’internet peut utiliser le contenu en libre accès sur ce site. Et ce même dans le but d’en critiquer le contenu.
Votre question ne figure pas dans cette liste ?
Aucun problème, vous pouvez m’écrire. Si possible indiquez :
Votre nom, votre statut, comment êtes-vous parvenu jusqu’à moi et qu’est-ce que vous proposez. N’ayez crainte, je ne mords pas.
Hadrien Raggenbass.